Kaiju N°8

Les kaiju sont d’effroyables monstres géants qui surgissent de nulle part pour attaquer la population.
Au Japon, ces apparitions font désormais partie du quotidien.
Enfant, Kafka Hibino rêvait d’intégrer les Forces de Défense pour combattre ces terribles ennemis, mais après de nombreux échecs à l’examen d’entrée, ce trentenaire travaille à nettoyer les rues de leurs encombrants cadavres.
Jusqu’au jour où une mystérieuse créature s’introduit dans son organisme et le métamorphose en une entité surpuissante mi-humaine, mi-kaiju.
Son nouveau nom de code : “Kaiju n° 8” !

Kafka est un looser.
Il a passé son enfance à réver d’être dans les Forces de Défense avec son amie Mina Ashiro mais contrairement a son amie qui a réussi a faire ses preuves, il a loupé à de nombreuses reprises l’examen d’entrée…
Pour gagner sa vie, il nettoie les rues après les passages des Kaijus !
Kaiju ? Oui des monstres géants attaquent la population, d’où les forces de défenses !
Mais il faut bien tout nettoyer parce que ça en fait des dégâts, alors Kafka a pas mal de connaissances sur ces créatures puisqu’il en a disséqué pas mal 🙂
Un jour, un jeune de 18 ans, Reno Ichikawa arrive dans son équipe et Kafka le prendra un peu sous son aile…
Après un lourd combat, Reno et Kafka se retrouvent à l’hôpital et … quelque chose entre alors dans Kafka et le métamorphosera en Kaiju !
Et voilà, Kafka devient alors le “Kaiju n° 8”, la 8ème créature la plus poursuivie par les forces de défense !

J’ai toujours un peu de mal avec les séries surmédiatisées et celle-ci a eu droit à un certain nombre de pub donc j’étais pas hyper motivée…
Mais j’ai pu lire un extrait et je l’ai trouvé intéressant !
En lisant les deux premiers tomes, j’ai trouvé l’histoire bien prenante, on s’attache vite à Kafka qui est un personnage très attachant.
Les dessins sont chouettes, les combats bien faits.
Y’a pas mal de blagues pas toujours drôles mais ça rajoute un peu de fraicheur à cette histoire.
Donc pour le moment je suis très satisfaite, j’attends la suite avec beaucoup d’impatience.