Numéro 9
Titre original : 9 (Nine)
Genre : Aventure, Fantastique, Science fiction
Scénario : Pamela Pettler, sur une idée originale de Shane Acker
Réalisation : Shane Acker
Pays d’origine : États-Unis
Sociétés de production : Focus Features, Relativity Media, Arc Productions, Starz Animation, Tim Burton Productions
Sociétés de distribution : Focus Features
Durée : 81 minutes
Date de sortie : France : 19 août 2009 ; États-Unis, Canada : 9 septembre 2009
Musique : Danny Elfman et Deborah Lurie
Casting :
Elijah Wood (VF : Bruno Choel): numéro 9
Christopher Plummer (VF : Georges Claisse) : numéro 1
Martin Landau (VF : Marc Cassot): numéro 2
John C. Reilly (VF : Thierry Kazazian) : numéro 5
Crispin Glover (VF : Fabien Jacquelin) : numéro 6
Jennifer Connelly (VF : Véronique Desmadryl) : numéro 7
Fred Tatasciore (VF : Sylvain Lemarié) : numéro 8 et l’annonceur à la radio
Alan Oppenheimer (VF : Patrick Floersheim) : le scientifique
Tom Kane : le chancelier Ferdinand
Helen Wilson : la présentatrice du JT
Dans un monde dévasté par les guerres entre les hommes et les machines, un savant crée une sorte de poupée, sur son dos le chiffre 9 est indiqué.
9 décide de parcourir le monde… il rencontrera 2, qui se fera rapidement enlever par une créature monstrueuse…
5 retrouvera alors 9 et l’emmènera dans une sorte de cathédrale où se retrouvent d’autres poupées comme eux.
Seulement 9 ne peut s’empêcher de vouloir sauver 2…
arf ce synopsis est vraiment court mais je ne veux pas dévoiler toute l’histoire :/
C’est un film d’animation plutôt intéressant, le monde post-apocalyptique et les poupées sont plutôt bien faites !!
L’ambiance est sombre comme il le faut et les personnages sont vite attachants !
J’ai vraiment aimé mais je sais pas … j’aurais vraiment aimé que l’histoire soit plus développée… en 75 minutes au final on a peu le temps de se mettre dedans…
Mais c’est quand même un conte bien sympathique et triste à la fois !
Par contre c’est pas pour les enfants…
Le film est bien trop court pour retranscrire le livre… ='(
Du coup, on se retrouve avec une œuvre à la narration très mal contrôlée : Les transitions qui assuraient l’équilibre de l’histoire sont littéralement expédiées et handicapent la progression des personnages. (caractère, action, …)
Bha, j’ai été très déçu parce que l’univers et la technique utilisée m’avaient conquis. *o*
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