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[Psychologie] Effet Mandela ou Faux souvenirs Induits

Parlons de l’effet Mandela….

Fiona Broome, spécialiste du paranormal s’est rendu compte qu’il y a une croyance collective qui fait que l’on penserait que Nelson Mandela serait décédé dans les années 80 dans une prison… alors qu’il est mort en 2013.
Elle a donc parlé de cet effet dans son livre « Real, Lies, or Memorex ? », paru en 2009 !

« Nos souvenirs sont différents de ce qui est consigné dans les livres d’histoire, les journaux et autres archives », a déclaré Fiona Broome.
« Nous sommes nombreux à spéculer sur l’existence de réalités parallèles. Et, jusqu’à présent, nous aurions glissé entre ces différentes réalités sans le réaliser. »

Plusieurs théories tentent d’expliquer ce phénomène :

– letribunaldunet
– La théorie des univers multiples : Plusieurs scientifiques penchent à croire qu’il existe une infinité d’univers les uns à côté des autres (comme dans l’univers Marvel).
Selon cette théorie, les univers pourraient se chevaucher et causer un effet Mandela.
Dans un des univers parallèle le logo de Volvo n’a pas de flèche, voila pourquoi certains pensaient que la flèche était inexistante.

– La théorie de la manipulation : Notre esprit serait manipulé par les marques et le gouvernement engendrant des pensées erronées.

– La théorie psychologique : Elle résume l’effet Mandela à une faille dans la mémoire, un dysfonctionnement qui provoque le trouble.

– La théorie de l’auto-incitation : Certaines personnes se créent des souvenirs selon les situations.
C’est au final un lien logique que fait notre cerveau, lorsque notre mémoire nous fait défaut, le cerveau tente de combler les trous et se trompe dans le processus.

Du coup je vais vous proposer un article de wikipedia sur les faux souvenir induits même si le concept est légèrement différent et ensuite… quelques exemples de faux souvenirs et enfin quelques vidéos !

Le faux souvenir est le phénomène psychologique qui se produit lorsqu’une personne se remémore un événement qui, en fait, n’a jamais eu lieu.

# Origines

Les observations ou les hypothèses sur l’existence de faux souvenirs remontent aux débuts de la psychanalyse et de la psychologie clinique ; on les retrouve dans les écrits de Sigmund Freud et Pierre Janet.

Dans les années 1970, les études expérimentales de la psychologue Elizabeth Loftus ont remis en cause la qualité que l’on peut attribuer aux témoignages dans le cadre d’affaires judiciaires, suscitant de nombreux débats et permettant de proposer des améliorations sur les techniques de recueil de témoignages, en particulier les témoignages d’enfants qui sont particulièrement influençables.

Ce débat a ouvert la question de la création artificielle de souvenirs, dits faux souvenirs induits, lors de psychothérapie, débats animés par des associations, thérapeutes et psychologues scientifiques : certains suggèrent l’existence d’un syndrome de faux souvenir (qui altère la vie courante de la personne) mais ce syndrome reste débattu et n’est pas répertorié dans les classifications psychiatriques internationales.

Les études de Loftus ont également mis en évidence un effet de désinformation : certaines désinformations (événements qui ne se sont jamais produits), dans des conditions spécifiques et dans certains groupes de personnes, peuvent assez facilement être implantées en mémoire par un processus d’interférence rétroactive.

La question des faux souvenirs est une question scientifique qui reste très étudiée.
Depuis les travaux précurseurs de Loftus, de nombreuses études ont validé le fait que les souvenirs peuvent être influencés et que de faux souvenirs peuvent être implantés en mémoire de plusieurs manières.

Les implications de ces questions scientifiques sont graves car en mettant en cause les témoignages, elles jettent le discrédit sur les témoignages des victimes et comportent deux risques majeurs : si un témoignage est erroné, un innocent peut être accusé et condamné sur base de ce témoignage ; mais si on ne tient pas compte des témoignages des victimes, un coupable potentiellement dangereux peut demeurer en liberté.
Cette question a été au cœur de plusieurs affaires d’abus sexuels sur mineurs qui ont fait l’objet de larges couvertures médiatiques.
Les applications des recherches psychologiques dans le domaine visent à améliorer les techniques de recueil de témoignage et la qualité des témoignages des victimes.

# Psychologie cognitive et neurosciences

Malléabilité de la mémoire

La mémoire humaine est un processus dynamique dépendant de nombreux processus complexes de perception et d’encodage, de stockage puis d’accessibilité et de rappel de l’information. À chaque niveau des divers processus peuvent se produire des erreurs.

Certaines de ces erreurs donnent lieu à la formation de faux souvenirs, qui sont relativement répandus et souvent mineurs chez les bien-portants et qui résultent même de phénomènes adaptatifs.
Ces faux souvenirs peuvent devenir problématiques dans certaines conditions pathologiques.

La psychologue Elizabeth Loftus a été pionnière dans l’étude systématique des faux souvenirs dans le domaine de la psychologie cognitive, bien qu’avant elle de nombreux autres psychologues aient observé les limites de la mémoire et les oublis et déformations de souvenirs.

Depuis 1974, elle conduit de nombreuses recherches expérimentales dans ce domaine et est reconnue comme autorité scientifique sur la question.

Elle a démontré la malléabilité de la mémoire et le fait que multiples sont les éléments qui peuvent influencer les souvenirs, les changer ou en créer de nouveaux, c’est-à-dire de « faux souvenirs ».

Dans ses expériences, elle demande à des sujets de visionner des vidéos ou des photos d’événements variés, telle que la photo d’un accident de la circulation.

Elle pose ensuite des questions aux sujets pour explorer leurs souvenirs des faits observés.

Ainsi, elle a mis en évidence de nombreuses erreurs dans les témoignages, provoquées par la manière dont les questions sont posées.

Un exemple typique est de demander aux sujets de quelle couleur était la camionnette stationnée derrière la scène (or la camionnette n’a jamais existé).

De nombreux sujets sont influencés par cette question et pensent alors avoir vu une camionnette.

Ses découvertes ont eu des conséquences appliquées sur les techniques d’interrogation de témoins dans les affaires judiciaires.

Provoquer de faux souvenirs en situation expérimentale contrôlée

L’effet de désinformation (misinformation effect, en anglais) est le fait de souvenirs du passé qui sont altérés par une information (source d’erreurs) qui se produit après l’exposition.

Le phénomène a été étudié en détail par la psychologie expérimentale depuis les années 1970.

Ce phénomène pose des questions pratiques (quand et qui est victime de cet effet et comment l’éviter ou le minimiser) et des questions théoriques (comprendre l’encodage en mémoire et en particulier s’il y a permanence de nos souvenirs).

Plusieurs paradigmes ont été utilisés pour tester l’hypothèse qu’il est possible de provoquer de faux souvenirs par des techniques de suggestion.

Par exemple, des chercheurs (dirigés par Loftus) ont voulu faire naître des souvenirs impossibles comme la présence du personnage de dessin animé Bugs Bunny au parc Disneyland (Bugs Bunny étant un personnage de la Warner et non de Disney, il est donc impossible d’avoir rencontré le personnage sur ce lieu).

En présentant une publicité du parc Disneyland sur laquelle les expérimentateurs avaient placé le personnage de Bugs Bunny, ils observent qu’entre 25 % et 35 % des personnes testées pensent se souvenir d’avoir effectivement rencontré Bugs Bunny lors de leur visite à Disneyland : ces sujets déclarent lui avoir serré la main (62 %) et l’avoir serré dans leurs bras (46 %).

L’effet de faux souvenir provoqué par ce paradigme est répliqué dans plusieurs études.

Les faux souvenirs impossibles provoqués en situation expérimentale concernent aussi des procédures médicales (Royaume-Uni).

Les effets les plus forts sont observés dans la technique des fausses photos souvenirs.

Dans un paradigme par exemple, une photo du visage du sujet (dans sa jeunesse) est placée dans la nacelle d’une montgolfière (évidemment, les expérimentateurs s’étaient assurés que le sujet n’avait jamais voyagé en montgolfière).

On demande au participant de se remémorer ce baptême de l’air en montgolfière (qui n’a jamais eu lieu) et de le décrire de la manière la plus détaillée possible.

Après deux sessions, 50 % des sujets pensent se souvenir de ce souvenir d’enfance.

Cet effet est étonnant, mais il est démontré dans de nombreuses études : les souvenirs rapportés par les sujets peuvent être fortement influencés par des suggestions durant des entretiens.

Loftus et ses collaborateurs ont également tenté d’observer si de faux souvenirs pouvaient être implantés hors des conditions de laboratoire, c’est-à-dire dans des conditions plus naturelles, et touchant des événements chargés sur le plan émotionnel, voire traumatiques.

Elle a démontré, par exemple, la possibilité d’altérer certains souvenirs traumatiques en introduisant une désinformation (animal blessé qui en fait n’a jamais été vu) dans la mémoire des images d’attaques terroristes.

Les faux souvenirs ne sont pas forcément provoqués par une fausse information ou par une suggestion intentionnelle.

Le faux souvenir peut apparaître aussi lors d’une interprétation survenue au moment de l’apprentissage de l’information et nécessaire pour sa compréhension.

Par exemple, lors de l’apprentissage de la phrase « la rock-star s’est plainte de la quantité d’alcool servie pendant la fête », les participants interprètent que la rock-star s’est plainte parce que la quantité n’était pas suffisante, or la quantité n’a jamais été précisée.

Comment distinguer un faux souvenir d’un vrai

Dans les expériences où un souvenir d’enfance était suggéré par le biais d’une photo truquée, quelques différences émergent entre les vrais souvenirs et le souvenir induit par l’expérimentation.

En moyenne (sur l’ensemble d’un groupe de participants), le degré de certitude est plus élevé quand les personnes racontent leurs vrais souvenirs.

Les participants hésitent plus souvent, ont des syntaxes verbales différentes (« je crois que… », « il me semble que… ») indiquant une plus grande hésitation.

Cependant, il n’est pas possible d’utiliser ce type de variations statistiques pour déterminer si un souvenir spécifique chez une personne est un faux souvenir ou s’il s’agit d’un événement qui s’est réellement produit.

Effets du temps

Un des premiers principes explicatifs des faux souvenirs et de l’effet de désinformation est basé sur l’effet des intervalles de temps entre les événements.

Plus un souvenir est ancien, plus la mémoire de l’événement s’affaiblit, moins la différence entre le souvenir et la nouvelle information est détectée.

C’est le principe de détection de la divergence (Discrepancy Detection).

Le principe de détection de l’information divergente prédit que le souvenir est plus susceptible de changer si la personne ne se rend pas compte de la différence entre son propre souvenir et la nouvelle information.

Cela ne veut pas dire que la nouvelle information n’est pas acceptée si la personne remarque la différence : il arrive que la personne dise à l’expérimentateur qu’elle pensait se souvenir, par exemple, d’un panneau de signalisation indiquant un Stop mais qu’on lui parle maintenant d’un panneau Cédez-le-passage et qu’elle avait dû mal mémoriser, acceptant ainsi de changer ses représentations et de croire à la nouvelle information.

Le temps entre la désinformation et le test expérimental influe également sur les résultats.

Effets de l’état mental passager

Un état mental passager peut affecter les performances de la mémoire.
Des sujets à qui on a fait croire qu’ils ont bu de l’alcool ou des sujets sous hypnose sont plus susceptibles de former de faux souvenirs dans des conditions expérimentales. Selon Loftus, ce phénomène s’explique certainement par le fait que les sujets détectent alors moins bien les divergences entre leurs souvenirs et la nouvelle information interférente ou désinformation.

Différences individuelles et développementales

Les désinformations affectent certaines personnes plutôt que d’autres.

L’âge des sujets est un des facteurs observés.

En effet, les jeunes enfants étant plus vulnérables que les enfants plus âgés et que les adultes ; les personnes âgées étant plus vulnérables que les adultes plus jeunes.

Effets des mises en garde

Les chercheurs se sont demandé si le fait de mettre en garde contre la fabrication de faux souvenirs avait un impact et pouvait diminuer l’occurrence de faux souvenirs. Plusieurs recherches montrent des résultats allant dans le même sens : prévenir des personnes avant la présentation de la désinformation leur permet de mieux résister aux influences et diminue la proportion de personnes construisant de faux souvenirs ; cependant, informer après coup les participants du fait qu’ils ont construit des faux souvenirs, a peu d’influence.

Permanence des souvenirs

L’observation de faux souvenirs en condition expérimentale a généré un débat scientifique quant à la nature des souvenirs en mémoire à long terme : sont-ils permanents ou peuvent-ils disparaître (et être remplacés) avec le temps et sous certaines conditions ?
Ce débat a commencé à se développer dans les années 1980.

Études chez les espèces non humaines

Les faux souvenirs ont été induits expérimentalement et observés sur des espèces animales comme les gorilles, pigeons et rats.

Des neurologues travaillant sur la souris ont réussi à induire de faux souvenirs chez des souris, par différentes techniques, dont une expérience qui a utilisé des techniques de stimulation neuronale pendant que les souris rêvaient d’un lieu pour modifier leur impression sur ce lieu.

Études en imagerie cérébrale

Le phénomène de faux souvenirs provoqués par un effet de désinformation a été observé pour la première fois par des techniques d’imagerie cérébrale en 2005, par les chercheurs Yoko Okado et Craig Stark.

# Psychothérapie et hypothèses des souvenirs refoulés

L’expression « faux souvenirs induits » désigne le fait d’induire par le biais de techniques d’entretiens psychothérapeutiques, ou d’hypnose, de faux souvenirs d’abus ou de maltraitances chez un patient.

Le syndrome des faux souvenirs désigne l’apparition du souvenir d’un événement qui ne s’est jamais produit ou bien le souvenir altéré d’un événement réel.

La résurgence tardive de souvenirs autant que la notion de souvenirs implantés par un thérapeute dans la mémoire de son patient sont controversées.

L’hypnose de spectacle ou l’hypnothérapie peut créer de faux souvenirs.

# Théorie quantique des mondes multiples

Bien évidemment, Fiona Broome et ses amis ne se contentent pas d’énumérer les distorsions de la réalité pour le plaisir, mais proposent carrément une explication rationnelle et scientifique au phénomène : l’effet Mandela n’est pas la preuve empirique de la plasticité de la mémoire humaine, c’est celle de l’existence de réalités parallèles qui s’entrechoquent de temps en temps.
A la manière de cette scène de Matrix, dans laquelle un sentiment de déjà-vu révèle une modification de la structure du programme (synonyme de présence d’agents), les souvenirs alternatifs seraient donc une preuve qu’une infinité d’itérations de la réalité coexistent – dans l’une d’entre elles, Di Caprio aurait même gagné un Oscar avant 2016, c’est dire.

Pour appuyer son hypothèse, Fiona Broome convoque la théorie des mondes multiples d’Everett, aussi appelée théorie des états relatifs.
Formulée en 1957 par le physicien américain Hugh Everett, elle tente d’expliquer rationnellement l’intrication quantique (le phénomène qui permet à deux particules d’interagir instantanément, peu importe leur distance géographique) en proposant le modèle suivant : à chaque fois qu’un état quantique est observé (au détriment d’un autre), la réalité se scinde et une nouvelle version continue son chemin en parallèle de la nôtre.
Vous pensez à Sliders, les mondes parallèles ?
Vous êtes un gros nerd né dans les années 80 mais vous avez raison, car ça donne (à peu près) ça.
A la différence que contrairement à la série, ces réalités pourraient s’affecter entre elles, ce qui donne à la fois la physique quantique et un Mandela mort en taule dans un 1980 alternatif où Coluche a peut-être mené sa présidentielle jusqu’au bout.

Evidemment, sitôt qu’on mêle physique quantique et complotisme, le nom du CERN n’est jamais très loin. Fiona Broome est donc ravie de nous apprendre, sur son site, que « certains scientifiques ont, en privé, émis l’idée que les expériences du Cern sur la physique quantique pourraient altérer la structure de la réalité ».
Et si le LHC s’est déjà amusé à chercher des preuves expérimentales de l’existence d’univers parallèles, notamment via la détection de mini trous noirs, l’expérience n’a absolument rien donné (en partie car le dispositif ne permettait pas d’atteindre des niveaux d’énergie suffisants, mais que Fiona Broome se rassure, le nouvel accélérateur de particules devrait y arriver).

Quoi qu’il en soit, l’explication derrière l’effet Mandela se trouve plus certainement dans la psychologie sociale que dans la physique quantique.
Selon le (seul) site entièrement consacré à la déconstruction de l’effet Mandela, celui-ci peut être perçu comme le produit d’un ensemble de biais cognitifs, en particulier de la capacité d’interprétation.
La science a depuis longtemps prouvé que le cerveau humain est une machine à désinformer, et que faire confiance à sa mémoire lorsqu’il s’agit de restituer précisément une information est généralement une très mauvaise idée.
À cela s’ajoute la suggestibilité, soit l’influence des attentes des autres sur nos propres souvenirs : voir une personne écrire que Mandela est mort en 1980 pousse à s’interroger ; quand elles sont dix, on est tenté de réécrire son histoire mentale (le concept est notamment essentiel pour déterminer la validité des témoignages judiciaires).

Enfin, si les sceptiques radicaux du subreddit sont si intimement persuadés que leurs souvenirs sont ceux d’une autre réalité, c’est à cause du concept de dissonance cognitive : lorsque l’on confronte quelqu’un à une information incompatible avec ses croyances, la personne se retrouve dans un état de tension désagréable et choisit le plus souvent de renforcer sa croyance initiale, la rendant de fait encore plus rigide et imperméable à la critique.
Le phénomène se retrouve, notamment, dans les sectes apocalyptiques, qui croient encore que la fin du monde est proche alors que les calendriers mayas et Paco Rabanne ont successivement échoué à la prédire.

En désespoir de cause, armons-nous du principe du rasoir d’Ockham , qui stipule que la théorie la plus simple est souvent la plus vraisemblable, et interrogeons-nous : est-il plus probable que notre réalité ne soit qu’une version parmi d’autres et que seul un petit nombre de personnes possède la capacité de détecter ses fluctuations grâce à une mémoire infaillible, ou que l’effet Mandela soit la simple preuve que notre cerveau passe son temps à travestir les faits?
La mauvaise foi est ainsi faite qu’elle préférera souvent l’alambiqué au limpide, et s’épanouira avec délice dans une croyance dont il est essentiellement impossible de démontrer l’invalidité.
La vérité est ailleurs, dans une réalité parallèle ou Mohamed Ali nous aurait quittés.
Attendez, ce serait pas la nôtre, celle-ci?
My mind is fucked.

# Quelques exemples de l’effet Mandela 🙂

– Leonardo DiCaprio et son Oscar … bon on pourrait se rappeler qu’il a eu un oscar pour Titanic mais non ! Pour avoir son oscar, il aura du attendre the revenant !
– Le bonhomme du Monopoly n’a pas …. de monocle !
– C-3PO n’est pas totalement doré, il a une jambe argentée
– Pikachu n’a pas le bout de la queue noire
– Lors de l’assassinat de JFK, il y avait 6 personnes dans la voiture (et pas 4)
– « L’Étrange Noël de monsieur Jack » n’a pas été réalisé par Tim Burton mais … Henry Selick !
– Il y a 6 pyramides à Gyzet
– Dark Vador ne prononce pas « Luke je suis ton père »… mais « Non, je suis ton père »
– Le penseur de Rodin n’a pas le poing sur le front :/ mais sa tête est bien posée sur sa main

# Quelques vidéos

Je vous conseille aussi l’épisode 4 de la saison 11 d’X-Files qui parle bien de l’effet MandelaMengele

Cécile
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Cécile

Co-créatrice de la communauté Bidouilleuse de code Créatrice de bugs / features Boulette officielle Mon ancien pseudo était Waha Mon but dans la vie : conquérir le monde à dos de drosophile Mes animés préférés : host club, black lagoon, durarara, deadman wonderland, excel saga, Gurren Lagann, samurai champloo Mes mangas préférés : Goth, Death note, Deadman Wonderland, Perfect World, Attaque des titans, Seven Deadly Sins... Mes films préférés : Arrietty, Summer Wars, Garden State, une vie moins ordinaire,Le seigneur des Anneaux, Bienvenue a gattaca, La traversée du temps, le chateau ambulant, le voyage de chihiro, princesse mononoke, John Wick Mes séries TV préférées : Nerdz, le visiteur du futur, doctor who,Izombie, Stranger Things, The boys, Preacher

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